A la Maison Blanche [The West Wing]
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 Chapitre 4 : Méprise

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Breakisover

Breakisover


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MessageSujet: Chapitre 4 : Méprise   Chapitre 4 : Méprise EmptyLun 19 Fév à 18:51

Chapitre IV : Méprise


C.J. observait le Président quitter l’aéroport, dans sa confortable limousine. Josh et les autres attendaient un taxi. Ils pensaient d’abord trouver un hôtel, puis faire un petit tour touristique de Los Angeles. L’attaché de presse regardait l’équipe présidentielle s’éloigner, elle semblait déçu. Toby s’approchait d’elle.
Toby : Tu viens, les taxis sont arrivés...
C.J. : J’arrive...
Toby avait bien remarqué qu’elle semblait émue.
Toby : C.J....
Elle releva la tête, visiblement attristée.
Toby : Quelque chose ne va pas ?
C.J. : Non, c’est juste que...
Toby : C’est Danny ?
C.J. : Je ne peux rien te cacher...
Toby : Il est parti, c’est ça ?
C.J. : Sans même me dire au revoir...
Toby : Quel goujat... S’il je le retrouve, il va m’entendre !
C.J. : Ne t’occupe pas de ça Toby... Allez viens, on va prendre notre taxi...
Toby se résigna à suivre C.J. Mais ils ne trouvèrent pas Josh, Sam et Donna à l’endroit où il les avaient quittés quelques minutes plus tôt.
Toby : Où sont-ils tous passés ?
Un homme bedonnnant, en uniforme, avec une casquette représentant le logo de l’aéroport, LAX, répondit alors à sa question, tout en l’empoignant fermement par le bras.
Rogers : Agent de sécurité Paul Rogers, vous êtes en état d’arrestation...
Toby sentit l’homme lui mettre des menottes. Il tenta de se débattre, en vain. Toby tourna la tête vers C.J. Elle aussi venait de se faire empoigner et menottés, par une femme à la quarantaine, portant le même uniforme que Rogers, le teint pâle, les cheveux foncés ramenés en chignon.
C.J. : Mais... Que se passe-t-il ?
Rogers : Pas un mot, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Veuillez nous suivre, nous avons quelques questions à nous poser...
Rogers et sa collègue emmenèrent de force le directeur de la communication et l’attaché de presse du Président, comme de vulgaires bandits, sous les regards étonnés des voyageurs qui les entouraient...

***

Margaret était en train de discuter avec Cathie, derrière son bureau.
Cathie : Et elle a dit qu’elles ne se feraient pas de cadeau !
Margaret : Non ?
Cathie : Je t’assure...
Margaret : Si Léo savait ça...
Justement, Léo venait d’entrer dans la pièce, d’un pas pressé.
Léo : Si je savais quoi, Margaret ?
Margaret : Rien d’intéressant...
Léo : Vous n’avez pas du travail, Margaret ? Et vous Cathie ? Ce n’est pas parce que Sam est absent qu’il n’y a rien à faire. Nous sommes à la Maison Blanche, quand même. Trouvez-vous une occupation !
Margaret : Et est ce que colporter des commérages est considéré comme une occupation à la Maison Blanche ?
Léo entra dans son bureau et pour seule réponse, claqua la porte au nez de son assistante.
Margaret : (à Cathie) Il est assez sur les nerfs en ce moment...
Une voix s’éleva dans la pièce à côté.
Léo : Je vous entends Margaret !
Margaret s’éloigna de la porte tandis que Cathie se leva pour partir.
Cathie : Bon, je te laisse. Mais je vais tâcher d’en savoir plus sur cette affaire...
Margaret : Tiens moi au courant !
Cathie s’éloigna et Margaret s’installa devant son ordinateur pour se remettre à travailler. Léo sortit de son bureau, un dossier à la main, l’air renfrogné.
Léo : Margaret, que je ne vous reprenne plus à faire la commère durant vos heures de travail. Vous le faîtes chez vous, quand vous voulez, mais pas ici.
Margaret : Bien, Léo. Quoi d’autre ?
Léo : Pardon ?
Margaret : J’ai dit « quoi d’autre ? »
Léo : Et maintenez, vous me volez mes répliques ! C’est pas croyable !
Margaret : Désolé. Mais...
Léo : Quoi ?
Margaret : Vous n’avez pas répondu. Vous semblez énervé, que s’est-il passé en salle des crise pour vous mettre dans cet état ?
Léo : Vous le saurez tant qu’assez tôt. Mais désolé, pour l’instant, je suis occupé. Contactez Ron Butterfield sur le champ, il va avoir du travail...
Margaret : Entendu. Un problème avec le Président ?
Léo : J’ai bien peur que ce soit pire qu’un simple problème...

***

Josh n’en crut pas ses yeux. Ils se trouvaient désormais dans la même salle vide que lors de l’entrevue avec le Président, à la différence qu’ils étaient menottés à leurs chaises. L’agent Rogers venait d’étaler le contenu de leurs valises devant eux. Donna, qui portait toujours son chapeau, commença à parler.
Sam : Qu’est ce que c’est ?
Josh : De la drogue !
Sam : Tu en es sur ?
Josh : Comme si j’y avais goûté... Ce que je veux dire, c’est que ça ressemble drôlement à de la drogue...
Sam : Et si c’était du sucre ?
Josh : Sam !
Toby : De toute façon, le problème n’est pas de savoir ce que c’est, mais pourquoi ça a atteri dans nos valises.
Sam : Il a raison...
Josh : On a voulu nous avoir !
C.J. : N’allons pas jusque là, c’est juste un malentendu...
Josh : C.J., nous travaillons pour le chef du monde libre, nous avons un nombre innombrable d’ennemis. On a voulu nous avoir !
C.J. : Peut-être que nos valises ont tout simplement étés interverties par erreur.
Sam : Si c’est la cas, on a vraiment pas de chance. C’est le plus grand aéroport du pays et il a fallu qu’on tombe sur des trafiquants de drogues !
Simon Rogers frappa sur la table du revers de sa main.
Rogers : Bon, vous le dites si on est de trop !
Les quatres camarades se retournèrent alors vers l’agent de sécurité et sa collègue, se rendant compte qu’ils parlaient ensemble depuis quelques minutes sans les avoir remarquer.
Rogers : C’est à nous de poser les questions ici !
Sa collègue prit alors la parole.
Fitzgerald : Bonjour, je suis l’agent Fitzgerald, et ceci n’a rien d’un malentendu.
Sam : Mais enfin, vous voyez bien que nous ne sommes pas des drogués !
C.J. : C’est la tête de Josh qui nous trahit...
Josh : C.J. ! Je te signales que ma tête est moins amoché que celle de Danny ! La faute à qui ?
Rogers : Silence !
Il frappa à nouveau sur la table, faisant sursauter tout le monde.
Fitzgerald : Déclinez-nous votre identité ! Nom, prénom ! (elle pointe Sam du doigt) Vous !
Sam : Moi ?
Fitzgerald : Vous !
Sam : Je m’appelle Sam.
Fitzgerald : Sam ?
Sam : Samuel, pour dire vrai. Mais mes amis m’appellent Sam.
Toby : Samuel !
Sam : Ah oui, excusez-moi... Samuel Norman Seaborn.
L’agent Fitzgerald se tourna maintenant vers C.J., puis vers Toby, et enfin vers Josh. Tandis que ces derniers déclinaient leur identité à tour de rôle, l’agent Rogers tapait frénétiquement sur son ordinateur portable.
Fitzgerald : Bien. Dîtes-moi, maintenant que j’ai votre identité, vos noms et vos visages me semblent familiers. Où je vous ais déjà vu ? Vous faîtes du cinéma ?
C.J. : En quelque sorte, oui. Nous travaillons pour le Président des Etats-Unis...
Rogers leva la tête de son écran et une mine étonné s’afficha sur le visage pourtant impassible de l’agent Fitzgerald.
C.J. : D’autres questions ?

***
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MessageSujet: Re: Chapitre 4 : Méprise   Chapitre 4 : Méprise EmptyLun 19 Fév à 18:52

Suite à sa conversation avec Mallory, Ainslay n’avait pas eu le temps de repenser à Sam. Le travail l’avait rappelé à l’ordre et Lionel Tribbey, venait de lui confier une nouvelle affaire. La Maison Blanche semblait calme en abcense de ses éléments moteurs et elle arpentait les couloirs sans ressentir ce mélange de stress et d’agitation qui la prenait à la gorge d’habitude. Elle passa devant le bureau de la communication et fut surprise de ne pas entendre Toby élevant la voix sur Ginger. Par contre, alors qu’elle prenait son café, elle surpris une conversation entre les deux staffers Ed et Larry, qui lui fit tendre l’oreille.
Ed : Mallory ?
Larry : Mallory.
Ed : La fille de Léo ?
Larry : La fille de Léo.
Ed : Et elle veut se faire Sam ?
Larry : En gros, oui. Et elle n’est pas la seule !
Ed : Qui d’autre ?
Larry : D’après toi ?
Ed : Cathie ?
Larry : Non.
Ed : Ginger ?
Larry : Non plus.
Ed : Ce n’est pas une assistante ?
Larry : Non. Et C.J. non plus.
Ed : Ne me dis pas que c’est...
Larry : La Première Dame ?
Ed : Non !
Larry : Non.
Ed : Alors il ne reste plus que...
Ainslay les rejoignit à ce moment-là, affichant un regard noir.
Ed et Larry : Ainslay !
Ainslay : Salut les gars. On parle de moi ?
Larry : Non, pas du tout. Qu’est ce qui te faire dire ça ?
Ainslay : Ce qui me faire dire çà ? Je l’ai deviné au moment où vous avez prononcé mon prénom. Vous parlez de moi ?
Ed : C’est vrai. En fait, il y a une rumeur qui circule...
Larry : Ed !
Ed : Quoi ? Elle n’a rien à cacher...
Ainslay : Une rumeur ? Je n’ai rien à cacher ? Mais qu’est ce que vous voulez dire ?
Larry : En fait, c’est Bonnie qui me l’a dit. Et elle le tient de Ginger.
Ed : Qui le tient de Cathie.
Larry : Qui le tient de Margaret.
Ainslay : Décidement, les murs ont des oreilles à la Maison Blanche. Imaginez s’il avait s’agit d’une affaire d’état...
Ed : Mais c’est une affaire d’Etat !
Larry : Tout ce qui concerne Sam Seaborn est affaire d’état. Dès demain, dans le New York Times, on verra une photo de toi et de Mallory en train de vous battre sur la une...
Ed : ...dans la boue.
Larry : Non, ça c’est dans tes fantasmes, Ed !
Ainslay : Je vois... Donc, vous croyez que je n’ai aucune chance face à Mallory ?
Ed : On a jamais dit ça !
Larry : Seulement...
Ainslay : Seulement quoi ?
Larry : Elle est déjà sorti avec Sam.
Ed : Elle a un point d’avance.
Ainslay : Mais c’est du passé, ça ! Sam l’a oublié, c’est le genre de fille qui s’oublie vite ! Je vois pas pourquoi il s’attacherait à cette... Oh mon dieu, je suis quand même en train de parler de la fille de mon patron ! Bon, je vous fais confiance pour ne pas ébruiter cette affaire plus que ça ! J’aurais Sam dans ma poche dès son retour de Californie !
Ed : Sauf que tous le staff est déjà au courant...
Larry : Et Léo ne va pas tarder non plus...
Ainslay : Et alors ? Je ne suis pas sa fille, ce n’est pas à moi qu’il va reprocher de sortir avec Sam.
Ed : Non, mais il va te reprocher de voler le prétendant de sa fille...
Ainslay : Ah, ça je n’y avais pas pensé... Et bien, tant pis ! L’amour n’a pas de prix !
Ed et Larry se mirent à rire, ne semblant pas prendre au sérieux les sentiments d’Ainslay pour Sam.
Ainslay : Quoi ? Vous croyez que je n’arriverais pas à battre Mallory !
Ed : Heu...
Ainslay : Je vais l’écraser, elle verra !
Larry : Ainslay...
Ainslay : Elle pourra aller pleurer chez son père !
Léo : Et bien qu’elle vienne...
Ainslay renversa son café sur le sol en voyant Léo McGarry en personne se tenir en face d’elle.

***

Aéroport de Los Angeles. Les quatres camarades venaient de subir un long interrogatoire. Les deux agents de sécurité n’avaient pas réussi à prouver qu’ils travaillent à la Maison Blanche car leur carte d’identité avaient été remplacés par celle de trafiquants recherchés par le FBI.
Rogers : Bon, je vous félicite, vous avez bien joué la comédie, mais maintenant que l’on sait qui vous êtes, ça va être moins drôle pour vous.
Josh : Mais puisqu’on vous dit que nous ne sommes pas ces personnes ! Est ce que j’ai une tête à m’appeler Pedro Alvarez ?
C.J. : Et moi j’ai l’air d’une Conchita Martinez ? Sans parler de Toby « Gonzalez » et de Sam « Lopez » !
Fitzgerald : Je suis désolé mais ce sont vos papiers et ils sont formels. La vrai C.J. Cregg se trouvent à des kilomètres d’ici. Par contre, je me demande quel chirurgien esthétique à réussi un tel travail de transformation !
Toby : Trouvez vite son adresse, ce serait un énorme soulagement pour l’humanité !
L’agent Fitzgerald resta insensible à la plaisanterie de Toby et fit lever les quatres complices de leurs chaises.
Sam : Où vous emmenez-nous ?
Rogers : Le FBI se chargera de vous désormais. Ils vous recherchent depuis si longtemps...
Sam : C’est une blague ?
Rogers : J’ai l’air d’un comique ?
Sam : Non, parce que si c’est une caméra cachée, ça ne fait rire personne !
Toby : Laisse-les faire Sam. Nous allons appeler le Président, et ils verront bien qui nous sommes rééllement. Et là, nous pourrons enfin passer ce séjour rêvée que nous attendions tant...
Rogers : Appelez le Président ? Pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ?
Sam : On vous en veut pas, on n’a tout notre temps...
Rogers : Molly, c’est moi où ils me prennent vraiment au sérieux ?
Fitzgerald : Ils sont vraiment doués pour la comédie ces mexicains !
Toby : Laissez-nous appelez le Président ! Ou au moins le Secrétaire d’Etat Général ! Ils vous diront qui nous sommes !
Rogers : Allez, vous verrez ça avec l’agent Doyle du FBI.
La porte s’ouvrit alors et une grande femme blonde, au physique plutôt avantageux (au goût de Josh) entra, suivis par deux molosses armés jusqu’aux dents.
Doyle : Bonjour à tous, agent Doyle, FBI. Tout le monde en voiture, on a pas de temps à perdre. Quand je pense qu’on a mis des années à rechercher ces pauvres types...
Josh : Je vous en prie, un peu de considération, vous parlez tout de même à l’adjoint de Léo McGarry !
Doyle : Je me fiches de savoir pour qui tu bosses, vous êtes tous des pourris !
Elle cracha au pieds de Josh, qui semblait indignée. Un molosse s’empara de lui d’une main et de l’autre de Sam, tandis que son collègue s’occupait de Sam et Toby.
Doyle : Allez, en route !
Tandis que les quatres collègues étaient tirés hors de la pièce, les agents Rogers et Fitzgerald leur faisaient un signe d’adieu de la main, en souriant bêtement.
Rogers : Au revoir et bonne continuation !
Fitzgerald : Ravi de vous avoir connu monsieur Lopez !
Toby : Vas te faire...
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase car la porte claqua au même moment. Les gorilles du FBI les emmenèrent à travers les couloirs secrets de l’aéroport et finirent par arriver à une espèce de parking souterrain. Là, ils les firent monter à l’arrière d’une camionette et les laissèrent seuls dans l’obscurité.
Josh : Ah, c’est la folie cette histoire ! Tu ne trouves pas, Donna ?
Sam : Tu parles à qui, là ?
Josh : À Donna. Mais... Oh mon dieu, où est-elle passée ?

***

Donna se réveilla mais tout était noir autour d’elle. Elle ne savait pas où elle se trouvait. Seul un bruit de moteur lui indiquait qu’elle se trouvait dans un véhicule, sûrement à l’arrière d’une camionette. A l’avant, deux voix discutaient mais la jeune femme n’arrivait pas à les comprendre. Ses mains étaient attachés par un ficelle précaire. Elle se souvint alors comment elle avait atteri ici.

Une heure plus tôt. La limousine du Président s’éloignait dans les rues agités de Los Angeles. Donna était si impatiente de pouvoir faire les boutiques et rencontrer des stars. Josh ne semblait pourtant pas partager son engouement. Lui et Sam attendaient un taxi devant l’aéroport tandis que Toby et C.J. étaient toujours à l’intérieur.
Josh : Donna ?
Donna : Oui ?
Josh : À quoi tu penses ?
Donna : À rien de particulier.
Josh : Bon, alors peut-être a-t-eu le temps d’aller me chercher un café ?
Donna : Josh !
Josh : Quoi ?
Donna : Je ne suis plus ton assistante, là, on est en vacances !
Josh : Oh, excuses-moi...
Donna : Nous devenons simple amis.
Josh : Parce que nous ne l’étions pas avant ?
Donna : Si, mais d’une façon différente. Quand tu es mon patron, c’est un peu plus dur de montrer des signes d’amitié.
Josh : C’est faux. Tu te souviens quand je t’ais offert ce livre, à Noël ?
Donna : Je m’en souviens. Et c’était particulièrement généreux de ta part.
Josh : Et bien tu me dois un café !
Donna : Décidément, je ne te changerais pas, Josh Lyman...
Et elle retourna à l’intérieur de l’aéroport, à la recherche d’une machine à café. Après tout, cela ne la dérangeait pas d’obéir à Josh, elle savait bien qu’il le taquinait et que jamais il ne lui manquerait de respect. Sinon, elle lui donnerait rapidement sa démission. Elle décida soudain de se rendre aux toilettes avant de faire quoi que ce soit. Elle entra par une porte qui indiquait les cabinets féminins et elle entra. Mais la pièce était plongée dans le noir. Donna chercha l’interrupteur mais des mains l’agrippèrent et lui mirent un bandeau sur la bouche, après avoir pris soin de la ligoter. Josh n’eut jamais son café.
Le conducteur de la camionette semblait accélérer. Peut-être la police était à leurs trousses. ‘Josh va lancer un avis de recherche’, se dit Donna. ‘Je serais de retour avec tout le monde avant la fin de la journée.’ Soudain, le véhicule freina violemment et Donna fut projeter contre la porte arrière de la camionette. Le conducteur et les deux passagers descendirent et la firent sortir à son tour. L’un deux avait enlever sa cagoule et Donna poussa un cri d’horreur en reconaissant son ravisseur...


À suivre...

Le mot de la fin : Tout ce que je peux vous dire, c’est que vous le ou la connaissez vous aussi...

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